Le 13 mai dernier, ce blog a fêté ses 7 ans, et fin juin, cela fera deux ans qu’il est devenu mon activité principale. Parce que je croyais très fort à ce projet qui me passionnait, et que le contexte y était favorable, j’ai en effet décidé de me lancer en tant que blogueuse à plein temps en 2015 dès la fin de mes études. Mon but ? Vivre de ma passion, à ma manière, créer ma propre source de revenus, qui me ressemble à 100%, avec les valeurs qui me sont chères.
Être blogueuse professionnelle, voilà pourtant une situation assez mal connue. Certain(e)s en rêvent, d’autres en rient, mais peu sont ceux qui se représentent exactement ce que cela implique. Est-ce un métier très solitaire ou très mondain ? Est-ce que la passion subsiste quand on se professionnalise ? À quoi ressemble une journée typique ? Comment cette activité influe sur notre vie ?
Il n’y a pas une seule réponse à toutes les questions qui se posent sur le blogging professionnel, pour une raison très simple: c’est un secteur nouveau, bien sûr, mais aussi et surtout très lié à la personnalité, aux ambitions et aux projets de chacun.
J’ai toutefois eu envie, aujourd’hui, de partager ma propre expérience sur la question. En deux ans, j’ai eu le temps de me rendre compte des réalités du métier, de ses avantages et de ses difficultés, de ses problématiques principales, et je ressens aujourd’hui le besoin de communiquer en transparence sur la façon dont ce choix de vie, de carrière, modèle mon quotidien. J’ai ainsi choisi de répondre à quelques grandes questions qui m’ont été posées durant ces dernières années, ainsi que sur Twitter il y a quelques jours. Peut-être que cela éclairera certain(e)s d’entre vous qui hésitent sur le choix à prendre !
Notez que j’aborderai uniquement dans cet article le métier de blogueuse en tant que lifestyle, par rapport à ce qu’il implique dans ma vie et mes journées. Les aspects plus concrets ou techniques du sujet (statut légal, prospection, relation avec les clients, facturation, etc…) feront l’objet d’un prochain épisode. Et pour mon point de vue sur la monétisation et comment je l’applique de façon « éthique » à ce blog, c’est dans cet article !
LA PERCEPTION DES AUTRES
Au départ, je n’ai pas été prise très au sérieux par certains de mes proches, qui s’inquiétaient pour moi ou ne concevaient pas le blogging comme un « vrai » métier – ce que je peux bien sûr comprendre. On me demandait ce que je comptais faire, ou quand est-ce que j’allais chercher un travail, comme si mon projet était une simple lubie passagère.
En réalité, je n’ai jamais été déstabilisée par ces réactions, d’une part grâce au soutien de quelques personnes chères, et d’autre part parce que j’ai toujours été très déterminée: je sais parfaitement ce que je veux, où je vais, j’ai confiance en mon intuition et en ma capacité de travail avant tout.
En ce qui concerne les personnes que je rencontre, qui ne me connaissent pas, je n’ai jamais eu de réactions négatives ou méprisantes – même si je vous avoue craindre un peu parfois de révéler mon occupation. Les gens sont généralement très curieux et enthousiastes: ils me demandent comment j’en vis, si j’y passe beaucoup de temps, et souvent me félicitent d’en être arrivée là. C’est toujours plutôt sympathique, et de mon côté je suis ravie de communiquer sur cette passion !
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LE DÉROULEMENT DE MES JOURNÉES
Mes journées se divisent principalement en 4 grandes catégories de tâches, par ordre de priorité: préparer mes articles (recherche, photo, rédaction…), animer mes réseaux sociaux (poster, répondre…), travailler sur mes collaborations et projets parallèles (création de contenu pour des marques, articles pour le blog de lavera, livre…), et traiter mes mails (échange avec les marques, etc…). À cela, il faut ajouter un petit peu d’administratif de temps en temps (préparation et envoi de mes factures, déclarations trimestrielles….).
Je n’ai pas de planning fixe qui structure systématiquement chaque journée: au contraire, je m’adapte selon ma to-do list et mes priorités du moment, en pensant mon emploi du temps au jour le jour. Globalement, je dédie au moins 4-6 heures par jour à la préparation de mes articles pour pouvoir alimenter le blog, ce qui reste ma priorité; le reste est casé comme je peux sur le temps qu’il me reste !
En termes d’horaires, je commence idéalement à travailler autour de 9 heures (réseaux sociaux, mails, rédaction…), pour finir ma journée autour de 19 heures, en prenant une heure de pause au moment du déjeuner + 1 ou 2 autres mini-pauses pour sortir mon chien.
En réalité, les choses ne sont néanmoins pas si claires: je déjeune souvent en préparant une photo pour Instagram, j’anime mes réseaux sociaux et réponds aux messages même dans la soirée, et il m’arrive de devoir terminer un article ou envoyer des mails avant ou après le dîner. En périodes très chargées, je peux travailler jusqu’à 22 ou 23h le soir, voire plus tard, mais ce sont bien sûr des exceptions que j’essaie d’éviter, car elles ne me réussissent pas.
Enfin, en ce qui concerne les jours de la semaine, je travaille à plein temps du lundi au vendredi, puis généralement une ou deux demi-journées pendant le week-end (bien que dernièrement, j’aie été un peu moins assidue de ce côté-là !).
LE TRAVAIL EN SOLITAIRE
Avant toute chose, il faut noter que si j’ai fait le choix, personnellement, de travailler seule à la maison pour diverses raisons, cette solitude n’est pas du tout obligatoire: on peut trouver un(e) ami(e) freelance avec qui partager nos journées, travailler dans un café ou à la bibliothèque, voire louer plus ou moins régulièrement un espace de co-working si on a le budget pour !
De mon côté, étant une personne très indépendante et autonome, j’ai toujours mieux travaillé seule; la présence d’autres personnes tend à me distraire (sauf affinité particulière), donc ce système me convient, et je le vis assez bien. Tout dépend vraiment du caractère de chacun !
Cela suppose, bien sûr, d’avoir une bonne discipline personnelle, ce qui est mon cas, presque excessivement – je suis incapable de passer ma journée à me détendre si j’ai du travail qui m’attend.
Être seule toute la journée, c’est aussi avoir moins de contacts sociaux. Effectivement, je ressens le besoin de voir des gens régulièrement pour compenser cette situation, sous peine de me sentir un peu triste et isolée. Sauf en périodes très chargées, je prévois donc au moins une ou deux visites « copines » par semaine, et bien sûr je vois mon amoureux tous les matins, tous les soirs et le week-end, ainsi que nos amis de temps en temps ! Je serais ravie de pouvoir les voir un peu plus souvent encore, et quand c’est possible je le fais avec grand plaisir, mais ce rythme de base me satisfait déjà pas mal – je n’ai pas besoin d’être toujours entourée.
Pour moi, travailler à la maison est un vrai bonheur, et j’en vois surtout les aspects positifs: je suis plus détendue et confortable, je peux m’habiller comme je veux, je ne perds pas de temps dans les transports, je suis là pour mes animaux, je peux me faire à manger, organiser ma journée sans dépendre de personne, j’ai toutes mes affaires à disposition… Ce confort est précieux !
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RESTER MOTIVÉE ET INSPIRÉE
Cela vous paraîtra peut-être étrange, car j’ai reçu beaucoup de questions à ce propos, mais je n’ai jamais vraiment eu de problèmes de motivation pour travailler sur le blog, même s’il n’y a personne pour me surveiller: j’ai rarement besoin de me faire violence pour me mettre à la tâche.
Je crois d’une part que mon rythme quotidien et les emplois du temps que je prépare chaque jour m’aident à travailler, car ils me créent une routine, un peu comme si je travaillais en entreprise. Les pauses qui y sont prévues sont aussi assez importantes: je peux sortir me promener et respirer un bon coup, ce qui aide à se rafraîchir les idées !
Il y a d’autre part les deadlines que je dois respecter auprès de mes collaborateurs: quand je crée du contenu pour une marque par exemple, ou que nous construisons un projet ensemble, il y a forcément des dates limite à respecter, qui m’obligent à m’organiser et tout terminer à temps. De même, pour les articles que j’écris sur le blog de lavera, une date de rendu m’est imposée.
Comme je vous le disais plus haut, je sais aussi que l’on m’a beaucoup inculqué l’auto-discipline pendant mes études (notamment dans mon lycée et en prépa): cette capacité à se raisonner et se mettre naturellement au travail au lieu de lézarder est précieuse pour quelqu’un qui travaille à son compte. J’ai toujours appris à faire passer mes devoirs ou mon travail en priorité avant de me détendre, et cela m’est resté.
Enfin, j’avoue avoir globalement l’esprit en ébullition. J’ai souvent pas mal d’idées d’articles, de sujets à aborder, car je trouve mon inspiration dans tout et n’importe quoi: la carte d’un restaurant, un problème que je rencontre au quotidien, un objet que j’ai acquis, une réflexion engendrée par une lecture, une caractéristique de la saison actuelle, une marque croisée dans une vitrine, mes découvertes diverses… Il m’arrive aussi d’avoir des illuminations soudaines pendant que je prends ma douche, ou le soir dans mon lit. Je suppose que la créativité est comme un muscle: plus on l’exerce, plus elle répond rapidement quand on en a besoin !
Bien sûr, il m’arrive néanmoins d’avoir des périodes de fatigue ou de stress qui coupent temporairement ma motivation et/ou mon inspiration: mon esprit n’a alors pas d’espace libre pour laisser naître de nouvelles étincelles. Je crois que cela arrive à tout le monde, et ce n’est pas grave !
Dans ces cas-là, j’ai au moins la grande chance de pouvoir faire la seule chose réellement efficace: prendre un peu de repos, aller me promener pour me changer les idées, bref, déconnecter et écouter mes besoins pour être deux fois plus en forme le lendemain. Ainsi, mes périodes de « panne » durent rarement plus d’un ou deux jours.
L’INSTABILITÉ FINANCIÈRE
J’ai deux facettes en moi: d’un côté, la girlboss, l’entrepreneuse qui préfère créer son propre chemin quitte à se passer du confort d’un salaire fixe, et de l’autre, la fille raisonnable, qui pense à sa sécurité et à l’avenir.
Par grande chance, je bénéficie d’un contexte favorable à ces deux tendances, puisque je me suis lancée dans le blogging à plein temps en ayant, d’une part, quelques économies personnelles au cas où, et d’autre part, en sachant mon compagnon, avec qui je vis, engagé dans un poste en CDI avec des revenus stables et suffisants.
Ma prise de risque est donc largement réduite: en cas de traversée du désert ponctuelle, je peux compter à la fois sur mes réserves et sur le soutien de mon cher et tendre, qui a confiance en mon projet. En outre, je suis assez économe et raisonnable dans ma consommation: je me sais capable d’utiliser ce que je gagne à bon escient !
Soyons honnêtes: si j’étais célibataire, sans économies, ou que mon compagnon avait des revenus très aléatoires, j’aurais certainement hésité davantage à me lancer. Il faut tout de même être conscient qu’un statut freelance peut poser problème pour les prêts bancaires, la location ou l’achat d’appartement, etc, surtout en France (ici, aux Pays-Bas, je connais pas mal de gens qui ont quand même pu se débrouiller). Il est évident que chacun doit mesurer l’intérêt ou le risque de ce statut par rapport à ses propres projets.
Même lorsque l’on assure ses arrières, il reste malgré tout une certaine instabilité, et le risque que la chance tourne. Un jour, peut-être, je ne pourrai plus vivre de mon blog, ou la situation de mon compagnon aura changée, m’obligeant à trouver d’autres solutions. Cela ne me dérange pas: dans la vie, même quand on est salarié, rien n’est jamais sûr à 100% – ce n’est pas une raison pour ne rien tenter, surtout que je n’ai pas d’enfant, personne qui dépende de moi. J’ai confiance en mes possibilités, et en cas de pépin, je saurai sûrement retomber sur mes pattes !
PRESSION FINANCIÈRE ET INDÉPENDANCE
Indubitablement, et c’est sans doute l’aspect le plus problématique du métier, même quand on ne craint que moyennement la prise de risque, une certaine pression naît lorsque l’on décide de se lancer à son compte. Contrairement au blogging amateur qui peut dépendre de l’inspiration du moment, un blogueur pro se retrouve « obligé » à produire des contenus, à trouver des collaborations intéressantes, à maintenir une certaine rentabilité pour gagner sa vie – au risque de perdre en authenticité.
Quand tout va bien, je n’en suis pas spécialement affectée. Je me satisfais de faire simplement de mon mieux, et je compte avant tout sur la qualité de mon travail pour mériter récompense. Je sais qu’avec mon rythme de 5 publications par semaine en moyenne, et un bon équilibre entre articles financièrement rentables ou non, tout fonctionne plutôt bien.
Toutefois, dans les périodes de manque de temps ou d’inspiration, cela peut parfois faire naître un certain stress en moi, en effet. Je culpabilise de ne pas pouvoir honorer correctement mes partenariats, par exemple, ou je m’inquiète de ne pas avoir suffisamment publié, perdant par là-même des opportunités de rémunération.
Pourtant, résister à une pression financière excessive est essentiel dans ma vision du blogging: je ne veux pas qu’elle envahisse ma façon de bloguer, au risque de détériorer la qualité de mon contenu et ternir ma passion.
Avec Mango & Salt, toute l’essence de mon pari est de réussir à vivre d’un blog sans trahir mes valeurs ni mon ton très personnel: cette éthique est, je crois, l’un des piliers centraux de mon projet, que je dois conserver absolument. J’ai tellement confiance en ce parti pris sur le long terme que cela apaise mes craintes ponctuelles: le plus important, pour moi, reste de préserver mon univers. J’ai l’immense chance, jusqu’ici, de pouvoir me le permettre.
L’IMPACT SUR MA VIE PRIVÉE ET MES PROCHES
C’est inévitable: mon blog est si important dans ma vie en général qu’il a de larges conséquences sur ma vie privée et tous ceux qui m’entourent.
Outre le nombre d’heures que j’y dédie, qui est supérieur à celles d’un travail classique et donc plus « envahissant », une déconnexion totale est presque impossible. Pour que mon activité fonctionne bien, je dois toujours trouver de nouvelles idées, chercher des informations, penser mes publications à venir, être active sur les réseaux sociaux… Même lors de mes moments de détente, tout peut être l’occasion d’un partage à ma communauté: je prends des photos, j’imagine un possible article…
C’est elle la vraie pression à mes yeux: l’impression de ne jamais pouvoir vraiment me couper de mon travail de tous les jours. Cela atteint chez moi des niveaux assez stressants: je vis mal le fait de devoir me reposer (par exemple en cas de maladie, de grande fatigue, etc…) et prendre des vacances m’angoisse toujours énormément, tant je sais que la perte de temps de travail sera pénible à rattraper par la suite.
Avec les années, toutefois, j’apprends à mieux gérer ces situations: je sais que je dois me ménager un minimum pour garantir la viabilité de mon activité à long terme, et ne surtout pas décourager ma passion, puisque c’est elle le moteur de tout cela !
J’ai aussi compris que ce travail constant pouvait être pesant pour mes proches (attendre pour la photo, me voir tout le temps collée à mon téléphone, etc….), et particulièrement mon amoureux, puisque cela m’accapare à son détriment. Son soutien, tout autant que ses coups de gueule, m’ont beaucoup aidée à faire petit à petit la part des choses entre ce qui importe vraiment et ce qui peut attendre.
Je suis aujourd’hui capable de temps à autre de me couper pendant quelques heures voire quelques jours s’il le faut, pour profiter de « la vraie vie ». Au quotidien, à part en périodes très chargées, je veille toujours à préserver des moments loin de mon téléphone et de mon ordinateur: c’est devenu indispensable pour ma santé mentale !
Toutefois, malgré mes efforts, mon importante charge de travail et le rythme de publication que je souhaite conserver m’amènent à travailler parfois plus qu’il ne le faudrait.
On ne va pas se mentir: bloguer de façon sérieuse est clairement un choix de vie. Il faut être prêt à y dédier une grande partie de son temps. Pour moi, ce côté envahissant est compensé par ma liberté et le bonheur de faire ce que j’aime: quand on est passionné, on ne compte pas les heures !
L’AVENIR DE MON ACTIVITÉ
Le blogging professionnel étant encore assez nouveau, je n’ai pas d’avenir tout tracé. Cela ne me dérange pas, au contraire: j’y vois une infinité de possibilités !
Pour l’instant, mon activité me satisfait très largement dans le sens où elle me permet de mêler différents domaines qui m’intéressent, et d’avoir toutes sortes de casquettes très variées chaque jour: photographe, rédactrice, community manager, recherchiste, relations presse, éditrice, créatrice, etc…, sans compter les projets parallèles. C’est ce qui me permet depuis sept ans de ne pas m’ennuyer un seul instant, et j’ai bon espoir d’y trouver encore beaucoup d’épanouissement.
Si je devais en changer un jour, je crois de toute façon que j’opterais pour un style de vie similaire: j’ai l’entreprenariat et l’indépendance dans le sang, et mille idées à accomplir. Je me verrais bien par exemple graphiste freelance pour des maisons d’édition (je rêve de faire des couvertures de livre toute la journée !), rédactrice freelance, écrivain, co-fondatrice de ma propre petite agence créative ou de ma propre marque (de bougies par exemple), créatrice d’un nouveau magazine… ou un peu tout ça à la fois !
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Ces explications correspondent-elles à ce que vous imaginiez ?
Le blogging professionnel vous attire-t-il ?
Même si j’ai l’impression d’avoir partagé des ressentis qui me sont trop personnels pour être vraiment éclairants, j’espère que vous aurez trouvé cet article instructif et peut-être utile, pour vous faire une meilleure idée de ce qu’implique le fait de bloguer de façon professionnelle.
Merci à toutes les personnes qui m’ont posé des questions sur ce sujet: j’espère y avoir répondu à peu près, sinon n’hésitez pas à me laisser vos interrogations subsistantes en commentaire.
86 commentaires
Super article Victoria, c’est hyper interessant de voir une autre facette de la vie de bloggueuse. C’est vrai que vu de l’extérieur, c’est un peu le métier révé (on voyage, on teste des produits), mais il y a beaucoup de travail qui va avec. En tout cas, sur ton blog ça se voit, les articles sont travaillés, avec de la recherche et de beaux clichés !
Bises
Encore un super article Victoria ! J’aurai voulu te demander comment il était possible de rendre un peu connu son blog quand on n’est pas très populaire sur les réseaux sociaux..? J’ai de plus en plus envie d’en ouvrir un pour partager mes lectures, mon style de vie et de parler de choses qui me tiennent à cœur mais j’ai un peu peur d’y passer énormément de temps sans avoir de retours dessus.. Bien sûr je le ferais avant tout pour moi mais j’imagine qu’au bout d’un certain temps, si le blog n’accueille aucun visiteur ça deviendra un peu triste d’écrire des articles.. Qu’en penses-tu ?
Dans tous les cas c’est notamment grâce à ton blog que je suis depuis un bon moment maintenant que j’ai envie de me lancer dans cette petite aventure :)
Bonne journée à toi !
Je pense que beaucoup de personnes ayant un blog ont déjà rêvé d’une situation similaire à la tienne: vivre de ta passion est une chance incroyable que tu as, certes, mais c’est le cas surtout car tu t’en es donné les moyens, et c’est quelque chose qu’il ne faut pas oublier.
Ton article était très touchant, j’aime beaucoup lire des « confessions » de ce genre, ça permet d’avoir un petit aperçu de ce métier pas comme les autres!
Bisous
Merci beaucoup pour cet article qui éclaircit un peu le mystère ! Je te lis tous les matins en allant au boulot et tu es toujours une source d’inspiration.
Je trouve ça très courageux de ta part (et de celle de ton entourage) de t’être lancée la dedans.
Belle journée
Quelle énergie se dégage de ton article Victoria ! Merci d’aborder l’envers du décor avec sincérité; on sent ta passion pour ce travail atypique et pourtant si riche.
En lançant mon blog il y a 1 an 1/2, je n’avais pas réalisé la somme de travail qu’il faudrait en plus de la rédaction des articles. Hors, écrire un article n’est qu’une facette des choses, même en bloguant en amateur. Mais je sais que cette étincelle suffit à se motiver pour faire toutes les tâches connexes qui gravitent autour de cette passion, un peu dévorante effectivement !
Je suis ton parcours avec enthousiasme; la route que tu traces te ressemble et j’aime l’honnêteté qui se dégage de ton travail.
Ton article est très clair et tu sais être transparente dans ce que tu écris.
En tous cas bravo à toi et longue vie à ton blog et tes projets !
Pour ma part je me lance en tant que graphiste freelance en septembre prochain, je crois les doigts !!
Merci pour ce partage ! C’est toujours sympa de voir l’envers du décors et ça colle totalement à l’image que j’ai de toi depuis que je te suis. Bravo pour ton travail mais aussi pour ton authenticité et la qualité de ce que tu partages. Tu es très inspirante, continue ! :D <3
C’est vraiment très intéressant à lire. Je te remercie vraiment pour ton honnêteté et je te félicite aussi pour le travail que tu accomplis. Ton blog est l’un des rares blogs professionnels que je lis assidûment et avec beaucoup de plaisir parce que j’aime ton contenu, ta simplicité, ta proximité, ton honnêteté et ta mesure. Ce que j’aime, c’est vraiment ce sentiment de proximité, d’honnêteté et de partage honnête et sincère. Je me retrouve beaucoup dans tes valeurs de slow life, cuisine saine (merci pour toutes les idées de repas que tu nous partages, elles m’inspirent souvent au quotidien), consommation raisonnée, ta passion des voyages et de la lecture.
Je suis aussi admirative de ton courage, car je crois que ça m’aurait fait très peur de me lancer dans une activité aux revenus irréguliers comme la tienne. Un peu moins maintenant ceci dit (parenthèse personnelle : je suis un peu dans la même situation que toi car depuis que l’on vit en Suisse, j’ai quitté l’Education nationale et je suis professeur de français en freelance – heureusement mon compagnon est comme toi en CDI et avec un salaire très confortable).
Merci encore Victoria, c’est toujours un grand plaisir de te lire et de te suivre sur les réseaux sociaux :)
Merci d’avoir pris le temps de lire et répondre à nos questions. Ta vie donne autant envie qu’elle angoisse, ahah. Longue vie à Mango & Salt (et aux autres livres qui en découleront) et bonne continuation ;)
Julie de Écolorée.com
Hello Victoria !
Merci pour cette article en toute transparence, c’est très intéressant.
Mon projet est également de me lancer dans le blogging professionnel mais pour l’instant je débute, donc ce sera pour plus tard. En tout cas c’est important de prendre conscience de la réalité du milieu pour ne pas trop l’idéaliser.
Douce journée ?
Cet article est très intéressant! Encore bravo pour ton parcours et aussi ton livre! Parmis toutes les blogueuses que je suis tu es celle que je préfère car ton contenu est super riche en infos et le côté slow life m’intéresse beaucoup! Ne parlons même pas de tes recettes qui tombent à pic à chaque fois!
Je t’ai lu au tout début et depuis je suis fidèle. Tu es réactive quant à nos commentaires que cela soit sur instagram, facebook, ton blog,…
Et c’est ta force!
On se doute que cela te prend du temps mais on voit aussi la qualité du travail.
Je suis actuellement en entreprise et quand je lis ton article cela me donne envie de me lancer dans une nouvelle vie car je me reconnais dans tes traits de caractère et oui j’avoue que vivre en entreprise n’est pas chose facile.
Merci à toi pour ce que tu es et continue comme cela!
Chacha
Ton article est tout simplement parfait. Et je te rejoins sur de nombreux points, que ce soit l’organisation de la journée ou tout simplement le fait de travailler chez soi, seule, ou encore sur le fait de ne pas pouvoir me détendre si j’ai une to-do-list chargée en attente !
J’attends donc la suite avec impatience :)
Bises Victoria
Hello Victoria,
Merci d’avoir partagé cela avec nous, c’est très intéressant !
Pour ma part j’ai une question supplémentaire : est-ce que tu penses que travailler chez toi est plus compatible que le salariat avec Hashimoto ? On m’a diagnostiqué une hypothyroïdie (examens poussés à venir, j’ignore si j’ai Hashimoto, pour le moment) récemment et ça m’amène à beaucoup réfléchir sur mon style de vie. J’ai de nombreux discours sur cette fatigue qui va devenir mon ombre mais néanmoins je constate que ça ne semble pas altérer ton activité. Et ça semble correspondre à ce que je ressens : ma fatigue constante s’efface quand je fais quelque chose « pour moi ». Je ne suis pas blogueuse et n’en ai pas l’ambition, mais je travaille dans la communication et me lancer en indépendante pourrait être une option dans l’avenir… Mais le stress de l’instabilité m’effraie (j’ai des enfants, un conjoint avec certes des revenus convenables mais pas suffisants pour nous faire vivre tous plus que ponctuellement). Sachant que ce stress doit être contrôlé pour le bien de ma santé… Bref, comment gères tu ce côté là ? Merci :)
Hello Virginie !
C’est une bonne question. En fait, jusque récemment (j’ai été diagnostiquée en septembre 2015), j’avais l’impression qu’Hashimoto n’avait aucune conséquence sur mon quotidien, que je vivais très bien malgré ces petits dérèglements hormonaux. Mais avec le temps, je réalise que j’ai en réalité plutôt moins d’énergie que d’autres personnes de 28 ans: je dors pourtant un nombre correct d’heures (7-8 par nuit à peu près), mais quand arrive le week-end, je suis si fatiguée qu’il m’arrive souvent de ne jamais vraiment me réveiller de toute la journée – j’ai les yeux ouverts, je fais des choses, mais ma tension est très basse et mon esprit complètement embrumé, tout simplement parce que j’ai besoin de me reposer. De même, je ne me sens parfois pas capable de sortir le soir après une journée de travail, ou de me retrouver dans des situations de sociabilité qui vont me demander des efforts.
Du coup, je crois que mon style de vie s’accorde assez bien à ce syndrome, dans le sens où il me permet, si vraiment j’en ressens le besoin, d’adapter ma journée à la façon dont je me sens: je t’écris d’ailleurs en ce moment-même depuis mon lit, où il m’arrive de rester parfois au moins une demi-journée quand je ne suis pas très en forme. Je peux m’organiser plus ou moins comme je le souhaite, donc cela me laisse la possibilité de m’écouter, et d’agir en conséquence. La solitude me permet aussi de concentrer toute mon énergie sur mon travail, sans devoir me préoccuper d’autres composantes.
Il y a toutefois le problème du stress, en effet: la pression financière, le fait d’être toute seule à tout gérer, tout cela peut parfois me mettre dans des états d’anxiété assez importants. Mais d’une part, j’apprends petit à petit à mieux gérer ces émotions, à prendre plus de recul (sinon, ce n’est clairement pas vivable, ni bon pour ma santé), et d’autre part, j’ai l’impression que ce stress serait probablement le même dans le cadre d’un poste salarié.
La pression que je ressens, en toute honnêteté, vient en bonne partie de moi: je suis très exigeante avec moi-même, avec un grand sens de la responsabilité, et je prends tout très à coeur, ce qui multiplie parfois des toutes petites choses jusqu’à en faire des montagnes. Je suis certaine que ce serait la même chose en entreprise, peut-être même pire, car je sentirais le regard et l’évaluation de mes supérieurs sur mon travail. La solution réside donc davantage, dans mon cas, dans un travail sur moi que dans la recherche de situations moins stressantes – mais c’est peut-être parce que justement, avec mon contexte qui est plus confortable, l’instabilité financière m’angoisse moins que le simple fait de devoir gérer une charge de travail constamment élevée, ce qui est moins grave que le risque de manquer d’argent…
Merci Victoria pour ce joli témoignage et tes explications fournies!
Profites-en tant que ça dure, c’est super de pouvoir vivre de sa passion, et c’est toujours mieux de travailler pour faire ce que l’on aime…
Moi je cherche toujours lol – non en fait je sais mais, comme tu l’écris justement dans ton article, quand on veut un certain confort financier on ne fait pas toujours ce qu’on aimerait au plus profond de soir… Mais ça viendra peut-être un jour.
En tout cas, longue vie à ton blog
Belle journée
Hello Victoria,
Super article comme d’habitude, pour ma part le blogging reste encore une passion en plus combiné à ma reprise d’études en naturopathie, à voir si plus tard un cabinet et le blogging peuvent être réalisé en même temps. Même à mon petit niveau, je m’efforce de sortir deux articles par semaines toute l’année sauf en cas de déménagement ou de vacances. Les lecteurs/lectrices mais encore plus l’entourage ont vraiment du mal je trouve à réaliser la charge de travail qu’un blog qui met des articles en lignes plusieurs fois par semaines représente ( je comprend tout à fait quand on n’ a pas un pied dans le milieu). Mais comme tu l’a dit, si la passion est là on ne compte pas ses heures. Belle journée
Hello Victoria,
Merci pour ce partage, c’est très intéressant d’avoir « l’envers du décor », d’autant plus que je trouve que tu es l’une des rares blogueuses pro dont la monétisation ne se ressent pas sur le ton, la qualité et l’intérêt des articles.
Bravo pour cela, j’ai toujours été bluffée par la régularité et la quantité de tes posts, sans renier la qualité ! Quand je vois le temps que me prend la rédaction d’un article, je ne doute pas de ta force de travail et de ta discipline.
Il me semble que tu as déjà évoqué un désir d’enfants, pas pour tout de suite mais certainement plus tard… Penses tu que cela peut changer ta relation au blogging pro et la rendre plus compliquée ? En terme de temps disponible bien sûr, mais aussi de sécurité ? Je t’avoue que c’est l’un de mes freins, en ayant 2 que je récupère à 17h et qui me prennent beaucoup d’énergie ! J’ai l’impression que la plupart des Girlboss ont bien installé leur « carrière » avant de devenir maman, même s’il doit certainement y avoir des contre exemples. Ton avis sur le sujet m’intéresse, même si tu n’es pas obligée d’y répondre si tu penses que c’est trop personnel ;)
Bravo en tout cas d’avoir le cran de tracer ta route comme tu le souhaites, c’est admirable !
Bravo pour cet article sincère et transparent.
Il me semble qu’il faut beaucoup de courage en plus de la passion et de la motivation pour livrer aussi souvent des facettes privées de sa vie.
Je te souhaite longue vie dans cette activité.
Sache que ton blog est une mine d’or pour moi.
Coucou Victoria
Merci pour ce super article, je suis moi même auto entrepreneur et cela se rejoint sur tous les aspects financiers, gestion du temps et du stress…
Mais quel bonheur de vivre cette expérience au quotidien. Comme tu le dis si bien, ce genre de voie ne pourra pas convenir à tout le monde, il faut savoir s’auto-discipliner, connaître ses propres capacités de travail (c’est vrai que la prépa est, bien qu’une souffrance quand on est dedans :p un formidable catalyseur d’énergie et de concentration, testé et approuvé) et bien sûr, avoir confiance en son projet…
J’ai eu la chance de te rencontrer sur Paris pour la dédicace de ton livre et tu es quelqu’un de sincère et de vrai, dans la vie comme dans tes projets.
Tout cela fait que ton blog est authentique et que j’ai du plaisir à y venir tous les jours, comme si je passais voir une copine pour prendre le thé!
J’avoue que je change des choses dans ma vie au quotidien grâce à toi et à ton blog, j’apprends à cuisiner différemment, les cosmétiques plus green s’invitent à la fête, la déco change un peu… pas pour copier mais juste parce que au final tu m’as permis de me révéler tout simplement et d’oser davantage.
Pour tout ça, et plus encore, je te remercie de ce que tu fais, en espérant que cela te rende heureuse encore longtemps!
ps: très jolie bague en grenat sur ton index… je suis contente qu’elle soit à la bonne taille!
Un immense merci à toi Sophie pour tes gentils mots et pour ce superbe cadeau que tu m’as fait. Ta bague ne me quittera plus, tu peux en être certaine: tu la verras sur toutes mes photos à l’avenir ! Elle est vraiment parfaite, merci encore ♡
Ton article est très intéressant, très concret et factuel ! Merci de nous éclairer sur ça :) Je suis d’accord avec toi, ton ton et tes valeurs sont le pilier central de ton blog et le perdre pour « gagner plus » ne serait pas rentable à long terme je pense. Donc continues comme ça, tu fais partie d’une des rares blogueuses dont je ne louperais aucun article pour rien au monde ;)
Bonjour Victoria,
je te suis depuis un moment sans forcément laisser de commentaires, je suis assez timide de ce côté là.
Je ne peux qu’aimer ton article et ta franchise : j’ai commencé mon blog il y a peu de temps et même si je ne m’imagine pas du tout en vivre, ton mode de vie fait rêver! J’aime beaucoup voir l’envers du décor.
Merci de tout ce que tu nous fais partager!
Merc Victoria pour cet article motivant ! C’est ce dont j’avais besoin ?.
Article très intéressant.
Je ne suis pas professionnelle mais je ressens aussi le ras le bol de mon amoureux à être toujours scotché à mon téléphone. J’ai fait beaucoup d’efforts sur le sujet mais c’est vrai que ça reste compliqué quand tu aimes partager sur les réseaux et que tu veux conserver ce que tu as construit. J’ai le projet d’avoir un blog vitrine pour faire de la rédaction mais je ne pense pas devenir un jour « professionnelle » : c’est trop prenant et j’admire ta pugnacité.
Je trouve ça super intéressant de voir cette facette de la vie d’une blogueuse, le derrière de l’image que l’on voit à travers ton blog. C’est toujours une chance de pouvoir faire un travail que l’on aime et qui nous passionne alors j’espère que ça continuera pour toi :)
Merci, pour ton article qui donne un avis avec les pours et les contres.
Bonne journée.
Hannao
C’est vraiment super intéressant d’avoir un retour sur ce métier si récent :) Je trouve ça réellement passionnant. Je pense que tu as tout pour réussir et que ta motivation reste la clé de ton succès :)
Hâte de voir le prochain article de cette petite catégorie. A très bientôt Victoria.
Très intéressant cet article ! Il m’a permis de me rendre compte à quoi peut ressembler un quotidien de blogueuse pro :) En tout cas, c’est vrai que ton activité reste variée et ça me semble aussi être le plus important: en étant blogueuse, on fait un peu du touche à tout et ça, c’est top ! Bonne continuation à toi :)
Merci pour ton article détaillé, à coeur ouvert.
C’est intéressant de savoir comment s’organise le quotidien quand on fait ton métier ! Ca montre aussi qu’il y a énormément de travail derrière et d’implication.
Je te souhaite encore des années de succès, tu le mérite.
Merci pour ta franchise
Ton article était assez touchant :)
On sent réellement ta passion dans tes articles et c’est ce qui me fait autant revenir ;) Même si je ne commente pas souvent (je plaide coupable ^^)
C’est vrai que bloguer est quelque chose de vraiment passionnant ! Je vois cela comme une aventure qui n’a de cesse de me surprendre, et surtout de m’apprendre plein de choses et de m’en faire découvrir encore plein d’autres :)
Je te souhaite une bonne réussite en tant que blogueuse pro et qui sait dans toutes tes idées de projets très intéressantes :*
Merci beaucoup Victoria !
J’aime vraiment beaucoup ton blog et j’ai récemment acheté ton livre (que je suis entrain de lire !). J’aime ta façon – simple – de voir les choses et comme l’ont dit certaines de tes lectrices, ton blog me permet d’évoluer dans ma consommation, ma façon de vivre, petit à petit…
Je ne pensais pas que blogger demandait autant d’investissement et je suis toujours impressionnée par la qualité de tes articles / photos.
Merci de ta sincérité. Tu mérites toute la réussite que tu as !
Carole
Merci pour ce super article. Etre blogueuse pro est vraiment quelque chose que j’aimerais faire. Pour l’instant, je pense que ça reste impossible, je n’ai pas ton rayonnement ^^. Mais je vais me mettre à mon compte tout de même pour des missions de CM et de rédactrice web. Peut-être qu’un jour je pourrais rajouter Popcorn & Gibberish dans mes missions ^^.
Bonjour Victoria,
Merci beaucoup pour cette article « transparence » sur ta vie de blogueuse à plein temps. Je trouve que c’est très enrichissant et cela nous permet également de mieux comprendre l’envers du décor et ce que cela implique au quotidien. Car oui un article met du temps à être mis en ligne et à l’heure actuelle, principalement à cause d’internet et de sa rapidité sur tout (infos, actus, etc.), certaines personnes ont tendance à oublier tout le travail qu’il y a derrière.
Bravo à toi en tout cas. Je te suis depuis peu par rapport à d’autres (1 an, 1 an et demi tout au plus) mais c’est toujours un petit bonheur de lire tes nouveaux articles.
Professionnellement parlant, je me remets beaucoup en question en ce moment donc découvrir des articles sur des travailleurs indépendants est chouette. Mais bon, avec une petite louloute qui est entrée dans ma vie depuis peu c’est compliqué, il faut penser à tout :).
Bonne continuation à toi en tout cas.
Au plaisir de lire tes nouveaux articles.
Cet* article plutôt. Désolée j’ai changé ma phrase à la fin et j’ai oublié de modifier l’article…
Hello,
Merci pour ce joli article… Ta simplicité et ton naturel sont toujours autant (si ce n’est plus de jour en jour) agréable ! Je suis une « petite » blogueuse et loin d’être en passe de devenir blogueuse professionnelle.
Mais je me retrouve assez dans ce sentiment de liberté et cette sensation de confort hyper agréable. Je crois que j’ai un profil assez similaire au tien et desfois je me dis que j’aimerais beaucoup faire « ça » le reste de ma vie haha parce que comme tu le dis c’est une passion alors c’est d’autant plus agréable. J’en suis bien loin .. mais en attendant je m’éclate à mon rythme et avec MON temps :)
Belle journée et surtout je te souhaite encore de longues années de réussite ici ( et de réaliser ces rêves qui ponctuent ton quotidien). Bises <3
Bravo pour cet article très clair et qui contribue à faire connaître le blogging :-)
Je suis admirative du fait que tu te sois lancée.
Je ne l’ai, pour ma part, jamais envisagé. J’ai longtemps dû honorer seule un prêt immobilier et sais maintenant que mon compagnon ne me soutiendrait pas financièrement (sauf à avoir un vrai problème ou accident de parcours) car sa vision des ressources du couple est très éloignée de ce modèle ;-) Cela dit, ça me va (je m’égare ;-)).
Je comprends ton indépendance, je n’ai pas besoin non plus que l’on soit derrière moi pour faire quelque chose.
Un blog, même non pro, a un fort impact sur l’entourage. Tout le monde ne semble pas s’en rendre compte. La mère de mon copain hallucine un peu de me voir en continu « travailler ». Si je fais des efforts pour « ne pas bloguer » pendant un week-end, j’y passe forcément au grand minimum 5h et sais que je vais devoir récupérer mon retard plus tard. « Quand on aime, on ne compte pas » ;-)
J’ai hâte de lire ton second billet :-)
Je te souhaite beaucoup de succès pour la suite !
Cet article tombe à point nommé puisque j’ai moi même mis mon blog en ligne hier matin.
Je n’envisage pas de me lancer à plein temps dans l’immédiat mais j’avoue y penser depuis maintenant trois voire quatre ans. Les choses se feront naturellement si je viens à me décider et si ma situation me le permet.
J’ai tendance à me sentir étouffée en entreprise alors que j’aime beaucoup le travail en équipe. À la longue je ne peux m’imaginer évoluer dans un tel environnement aux risques d’avoir un burn out avant mes 30 ans. J’ai des idées plein la tête mais manque cruellement de temps pour les réaliser comme je l’entends. Perfectionniste, je suis très critique envers moi même et ne me laisse pas beaucoup de chance d’exprimer ma créativité.. Ce qui est dommage en soit. Ton article vient là me rassurer. J’ai décidé hier de me lancer, de me donner une chance ultime. Advienne que pourra, cette fois ci je me donne le droit d’y croire!
Merci de nous faire découvrir les coulisses de ton métier, je prends beaucoup de plaisir à lire ton blog.
Je ne prends jamais le temps de commenter, désolée… Juste un mot, MERCI pour ta transparence et tout ton boulot !!! LONGUE VIE à MANGO AND SALT et si finalement ta reconversion se tourne vers la création d’un magazine ou la création de ta marque et bien je serai encore là, à te suivre dans tes projets !!! Bravo Victoria, bloggueuse à temps plein certes, mais VRAIE bloggueuse au succès bien mérité !!!
Merci de nous faire des articles toujours si intéressants ! Ce sujet me parle beaucoup dans la mesure où c’est mon projet de vivre de mon blog / créations graphiques. Pour l’instant c’est encore très flou mais je ne désespère pas. Le travail en entreprise me rend malade. Je te souhaite le meilleur :)
Très instructif ton article et vraiment complet. Je trouve ton choix de carrière courageux. il faut oser se lancer en free-lance, ce n’est pas fait pour tous le monde. Personnellement, je rêve d’être illustratrice et j’essaie de développer mon activité avec mon blog. Mon copain a une très bonne situation (et moi aussi d’ailleurs), nous somme fonctionnaire. Et pourtant je n’ose pas franchir le cap de tout envoyer balader pour faire ce que j’aime. Cette prise de risque me tétanise…
En tout cas bravo pour tout ce que tu mènes de front ;-)
Bises!
Mélissa
Roh la la mais quel bel article complet ! Merci ma belle de nous partager tout ça. Tout coulait de sens pour moi je me suis régalée de cette lecture. Je viens juste de me mettre à mon compte mais je me reconnais exactement dans tout ce que tu dis !
J’adore !
Plein de réussite qui j’espère durera encore longtemps ! Longue vie à nous les bloggeuses !
Je t’embrasse
Plume d’Auré
http://www.plumedaure.com
Merci beaucoup pour cet article, très complet ! Je le mets de côté pour le relire à souhait car il explique bien les réalités de l’auto-entreprenariat. Bravo pour tout ce que tu arrives à accomplir ! Je te souhaite que ça continue le plus lgtmps possible :)
Merci pour ce partage inspirant !
Clairement le métier de « blogueuse » est encore une espèce de fantasme pour plein de gens, avec une représentation qui se situe quelque part entre la glandue et la vendue. ;)
Mon blog est à peu près aussi vieux que le tien (coucou les mamies blogueuses) (voire exactement aussi vieux en fait, je l’ai ouvert en août 2010 si me souvenirs sont bons !) mais pour la première fois cette année, j’essaie de m’astreindre à un rythme de publication, à un certain niveau de qualité, à des fins de professionnalisation future (j’aimerais faire du yoga ma profession principale, mais mon blog serait une petite aide en ce sens).
C’est marrant comme je me retrouve du coup dans pas mal de choses que tu décris, le fait d’avoir le nez collé à son téléphone, d’être toujours dans la réflexion sur un article… et aussi le temps de préparation d’un article alors même que mon rythme de publication, c’est DEUX articles par semaine (et même pas de la qualité éditoriale des tiens, hein). Je dis d’ailleurs souvent à mon entourage que j’ai l’impression de combiner les jobs à temps plein de ce moment : prof de yoga à raison de 3/5 cours par semaine, blogueuse, jeune cadre dynamique et maman. Bah c’est fatiguant hein, il y en a un qui doit sauter là (je te laisse imaginer lequel j’aimerais virer…) (problème : c’est le plus rentable, haha) ;)
En revanche, j’aimerais te rassurer sur un point qui a fait écho en moi quand tu parlais du stress avant les vacances et du boulot à rattraper : personnellement, j’ai toujours ressenti ça en bossant en tant que salariée aussi, dès lors que tu ne pars pas au beau milieu du mois d’août sur une période de calme. Depuis que j’ai un enfant et ne pars plus en décalé, ça s’est un peu calmé, mais clairement mes 5/6 premières années de salariat c’était : 2 semaines de rythme d’enfer en prévision de tes 15 jours de vacances – voire parfois même d’un pauvre pont ! – puis la misère intersidérale pendant plusieurs jours quand tu rentres du bout du monde en ayant loupé 10 jours ouvrés de travail…
Pareil pour les arrêts maladie : il y a 4 ans par exemple, je bossais sur un dossier un peu « chaud » et me suis retrouvée avec une grosse crève au bout d’un mois de travail 7 jours sur 7 : j’ai eu un arrêt maladie (de 4 jours on ne parle pas d’arrêt long) qui m’a retiré un bout de salaire (les fameux jours de carence supprimés depuis) mais pendant mon arrêt, j’ai continué à bosser de chez moi parce qu’on devait absolument avancer et qu’on n’allait pas se laisser ralentir par une grippe/tension basse, hein (oui, ce mois de mai 2013 passé à travailler weekends, jours fériés et soirées à un salaire moindre parce que j’étais malade m’est un peu resté en travers de la gorge, haha)
Bref tout ça pour dire que tu peux peut être même ôter cet aspect des « moins » de ta liste personnelle, car tu les rencontrerais peut être aussi en tant que salariée !
Sinon je le répète souvent (mode groupie enclenchée) (je n’ai aucune âme de groupie de manière générale, c’est juste que j’aime vraiment beaucoup ton travail) mais j’admire la manière dont tu sais rendre chaque sujet intéressant : le nombre de commentaires de personnes intéressées par cet article alors qu’elles ne bloguent pas, ou pas professionnellement, est édifiant ! :D
PS : ma fille m’a demandé récemment quand on retournait voir ma copine qui écrit dans les livres, hahaha.
Je trouve cet article vraiment intéressant car il montre le travail et la discipline que requiert le travail de blogueur ! On s’imagine qu’il s’agit d’un loisir plus que d’un travail alors que non, au delà de la passion, c’est une véritable entreprise ! Merci pour le partage de ton expérience !
Merci pour cet article à la fois clair et touchant.
Peut-être l’aborderas-tu dans un prochain article mais la question que je me pose principalement c’est : comment arrives-tu à générer des revenus de ton blog ? Rémunération d’article ? sponsoring ? Pub ? J’avoue je n’y connais rien…mais ça m’a toujours rendue curieuse.
Coucou Mélanie ! J’ai fait un article spécial sur la monétisation qui devrait sûrement répondre à la plupart de tes questions ! Il est visible par ici: http://www.mangoandsalt.com/2016/09/15/conseils-blogs-monetisation-ethique/ :)
Salut Victoria!
Super article, certes personnel, mais je trouve que c’est définitivement la grosse valeur ajoutée de ton blog… ta personne ;)
Je travaille comme auto-entrepreneur (dans un tout autre domaine) depuis quelques mois, et je te rejoins absolument sur tous les points pré-cités, quant à l’organisation des journées.
Et sur l’équilibre à trouver (notamment auprès des proches) entre liberté et obligations… Non, on ne peut pas non plus être en vacances tout le temps ;)
Le point qui peut être pourra me gêner à terme, c’est le fait de bosser sans équipe. Mais comme tu le dis, il y a à cela des solutions, et notamment le co-working!
Des bises et surtout continue sur ta lancée, on adooooore ;)
Super article qui éclaire sur le mode de vie de bloggeuse !
Je bosse aussi beaucoup de chez moi et j’avoue que c’est une vraie liberté !
http://www.coquelicotetbasilic.com
Ton article m’éclaire beaucoup sur mon projet puisque moi aussi je compte en faire mon activité principale, j’y travaille beaucoup !
C’est super intéressant et enrichissant d’avoir le point de vue de quelqu’un qui est déjà dedans à 100%, merci :)
J’aimerai tellement me lancé dans le blogging. Mais, j’ai peur. Quelque chose me bloque. Alors, je lis les mes blogs préférés et laisse mon imagination débordé.
Coucou Victoria,
J’ai trouvé ton article très intéressant et instructif, démystifiant un peu la journée de travail d’une blogueuse pro. De plus, j’ai beaucoup aimé le ton très personnel que tu emploies. Il m’a fait réellement entrer dans ton monde, le temps de cette lecture. Je te souhaite encore bien du succès et je reste admirative devant ton courage d’auto-entrepreneuse !
Sophie
Chère Victoria,
Merci pour cet article, qui m’apporte un certain réconfort à un moment où j’en avais bien besoin.
M’étant lancée comme freelance récemment, mais à temps partiel jusqu’ici, j’envisage le temps plein, et j’oscille constamment entre d’une part des périodes de certitude qu’il faut me fier à mon instinct et se lancer, et d’autres part des périodes de doutes qui peuvent vraiment me miner le moral. Typiquement ce WE, après avoir refusé une proposition de job que beaucoup m’envieraient, j’ai commencé à culpabiliser « mais pourquoi tu as dit non? Et l’avenir? » Ce n’est pas toujours simple de se faire confiance, bien que ce soit essentiel me semble-t-il.
Bref, ton article et ses mots justes m’ont mis du baume au coeur :)
Article très intéressant pour moi qui ne connais pas grand chose de ce secteur… tes articles sont emplis de sincérité, c’est un vrai plaisir à lire et instructif!
Néanmoins – exception faite du temps passé sur le téléphone qui en soi est inclus dans le travail – penses tu vraiment que c’est plus prenant qu’un travail classique? Dans bcp de métiers, les responsabilités sont prenantes et les personnes ont des difficultés à s’en détacher le soir, le WE, les vacances… j’ai en tête le secteur juridique qui est mon domaine et tous les magistrats/avocats me disent la même chose sur la prégnance du travail…. de meme dans le secteur privé, il me semble que c’est plus un mal de notre époque !
Au plaisir de te lire